
academie-des-pme-or-comment-creer-et-entretenir-limage-de-marque-de-votre-entreprise-replay-2020-06-30.mp4 - powered by Happy Scribe
C'est parti! Bonjour à toutes et à tous,
bienvenue le webinaire Académie des PMEorganisé par la CPM Paris Ile de France.
Aujourd'hui, nous recevons MathieuHouillon, fondateur de Yohann Steichen.
Bonjour Mathieu, bonjour Sabrina.
Et avec vous, nous allons traiter un sujet
épineux comment créer et entretenirl'image de marque de votre entreprise,
notamment pour se démarquerde ses concurrents?
Ça peut être un très bon levier.
Vous allez me donner à quelquesquelques secrets de fabrication.
Mathieu On peut parcourir avec vousle support que vous avez présenté.
Je vous rappelle quelques informationspratiques pour poser vos questions.
Vous avez l'onglet Questions.
Vous pouvez utiliser l'onglet de chaqueCamerounais et sessiles.
Bonjour à vous deux.
Vous pouvez voter pour les questions
qui vous semblent les pluspertinentes dans l'onglet Questions
et enfin, le webinaire sera à votredisposition un triplé à la suite et vous
aurez également le supportde présentation.
Bonjour à tous!
Je commence par quelques questions
pour mieux vous connaître et pour aiderMathieu à mieux mieux cibler
sa présentationet les exemples qui vous donnera.
Vous pouvez utiliser l'onglet Tchak
pour nous aider à mieux vousconnaître et ce que vous pourriez.
Pour ceux qui sont connectés,nous précisez vos secteurs d'activité.
C'est la première.La première question je voulais
que vous puissiez
lire en même tempsla communication recherche.
Chez nous, on est parfait
l'actuel. Ce que l'on peut nous dire
à quoi ça va vous? Comment ça va vousaider? Les secteurs d'activité? Comment
vous allez pouvoir êtreplus plus pertinents dans votre
présentation?Tout à fait approprié
tous nos épinard sur comment créer
et entretenir votre imagede marque pour une TPE PME.
Donc, c'est vrai qu'aujourd'hui,
l'image de marque, c'est quelque chosequi est centrale, comme on va le voir.
Et ça se nourrit à la fois de la marque,mais pas seulement
parce que le Canada
compte énormément.
Et donc, c'est un point sur lequel
toutes les entreprises,quelle que soit leur taille,
peuvent aujourd'huiutiliser justement ce qui a changé,
c'est à dire le digital,pour pouvoir toucher des milliers,
voire des millions d'entreprisespartout dans le monde.
Donc, je pense que aujourd'hui,ce qui est intéressant,
c'est de comprendre commentvous faites en quelques mots.
En fait, quelles sont vos priorités?
Qu'est ce que vous êtes venuchercher dans Scabinales?
Parce que vous verrezque c'est assez dense.
On va balayer beaucoup de choses,du plus classique sur les fondements
de l'image de marquejusqu'aux plus modernes.
Vraiment pas à pas vous accompagnerdans comment on utilise les outils.
Ça va être dense et du coup, l'idée,
ce serait pouvoir vous accompagneren faisant des focus selon vos besoins.
Donc, si vous avez des questionsprécises, n'hésitez pas.
Je suis là pour ça et je pense que lavaleur ajoutée qu'on peut apporter.
Outre le fait qu'on soit organismede formation, c'est que j'ai moi même
travaillé dans les marques et j'ai étéconsultant pendant de nombreuses années.
Et aujourd'hui, je monte ma startup.
Ça fait déjà plusieurs années que j'ai
monté la start up, donc je suisau carrefour de pas mal de sujets,
ce qui peut permettre, en fait,de parler la même langue.
Voilà, donc, n'hésitez vraiment pas.
Alors là, je reprendsun petit peu vos points.
Donc la communication, très bien.
Chirine R'mel le financementde l'innovation, ça, ce sera.
Ouais, d'accord,
c'est pas forcément un point qu'on vaaborder aujourd'hui,
mais si on revient effectivement avectoute la partie brevets, dépôt de marque,
je pourrai faire un focussi vous voulez là dessus,
je n'avais pas prévu d'en parler,mais on pourra faire un rapide point
sous traitance dans l'industrie.
Alors Claude, si vous pouviez préciser
parce que pour moi, c'est pas trèsclair là le rapport avec le sujet?
TIC tac.
Mais d'accord, ça, c'est beau ça.
C'est vos secteurs d'activité,
de sous traitance dans l'industrievente de décoration, import export,
personal branding.
Donc, ce sera un sujet d'intérêt.
Création et animation de formation.
Droit de la propriétéintellectuelle des marques.
Cabinets juridiques.Très bien sessile.
Organisme de formation.
OK, très bien.
Bon, effectivement, c'est assez varié,comme on le voit
si ça va démarrer maintenant.
N'hésitez pas à m'interrompreen utilisant le Tchad.
Et puis, au fur et à mesure,j'essaierai de répondre à vos questions.
Donc, si vous êtes aujourd'hui ici,
c'est que vous avez ressenti le besoin devous interroger sur votre image de marque
et vous vous dites qu'aujourd'hui,ça peut être un moyen de renouer
ou de nouer avec de nouveauxclients ou des clients existants.
Et du coup, vous avez envie, justement,de retravailler cette relation,
cette manière de parler à ce qu'on peut,ce qu'on peut faire pour démarrer.
C'est un rapide rappel de la définitionde ce que c'est qu'une image de marque.
Tout d'abord, ce qu'il faut dire,
c'est que la marque vient de marquer,marqué au fer rouge.
Etymologiquement, ont marqué au fer rouge.
C'est faire une empreinte dans la peau.
C'est tout l'enjeu du tatouageque de créer un signe distinctif,
quelque chose qui va être indélébileet qui va marquer la personne.
On voit bien que même étymologiquement, lamarque, c'est lié à un signe distinctif.
Et justement,
c'est ce que reprend l'article 711 tirédu Code de la propriété intellectuelle,
qui rappelle qu'une marque,ça sert à distinguer les produits
ou services d'une personne physiqueou morale de celle de ses concurrents.
Ce qui est intéressant, c'estque la marque, c'est un vieux sujet.
C'est un sujet qui est lié à la réclameet à la publicité et qui est l'objet
de tous les fantasmes depuis la réclamequi était très concentrée
sur une information que l'on donnaitau consommateur jusqu'à la publicité
et à tout ce qui concernaitla marque et l'image de marque.
Puisque ce n'est pas exactement la même
chose moderne, il y a tout un pasassez important aujourd'hui.
En effet, les marques ont dépassé cettevision uniquement informative pour aller
sur une vision qui va être beaucoup pluscomplexe et apporter ce que Corinne B6,
fondatrice de l'agence de naming B6,appelle un supplément d'âme.
Donc, ce qui est intéressant,
c'est qu'aujourd'hui,on connait tous des marques qu'elles sont
dans notre inconscient collectif,pour reprendre l'expression
de Pierre Nora,et elles vont justement nous marquer parce
que elles font partiede notre patrimoine culturel.
Certaines marques ontplus réussi que d'autres.
C'est ce qu'on appelle les marquesiconiques ou celles du star system,
pour reprendre une expressionde Jacques Séguéla.
Ce qui est intéressant,
c'est qu'elles se positionnent dans notreunivers, dans notre inconscient collectif,
mais du coup aussi dansnotre univers culturel.
Et ça, il faut se référerau philosophe post-moderne
tel que Baudrillard, par exemple,
pour comprendre la valeuraujourd'hui jouée par les marques.
Si la réclame était très concentrée
sur l'information transmise, le supplémentd'âme attendu aujourd'hui d'une marque
s'incarne en fait dans ces nouvellesmodalités de consommation.
Aujourd'hui, vous avez,pour reprendre l'expression de Dillard,
c'est je consomme, donc je suisun paraphrase Descartes et le cogito.
Et ça suppose qu'en fait,
la consommation a pris le relais parrapport à toutes nos valeurs culturelles.
Donc, aujourd'hui, consommer est un acte
porteur de sens et ça vavraiment falloir l'intégrer.
Est ce que ce qui était justement quelque
chose d'utiliser pas maldans la parfumerie, le luxe?
Pensez à Hermès ou a pas mal de marques
type Lancôme, par exemple,aujourd'hui, qui a sorti un parfum?
La vie est belle, donc c'est des vieux,des vieux ressorts du monde du luxe.
Aujourd'hui, ça colonise à peu près tous
les secteurs d'activité et toutesles fonctions de l'entreprise.
Alors quand on parle de secteur,on peut aller jusqu'à de l'artisanat.
Par exemple, aujourd'hui,un boulanger va nommer ces pains.
On parle plus uniquementde produits génériques.
La baguette, mais on est justement sur desproduits qui vont nommer un café, un thé.
Pensez, par exemple,à Nespresso ou à Mariage Frères.
C'est vrai,
ils sont vraiment axés sur la marque,à travers les noms,
à travers le design et l'image de marque,à travers l'expérience utilisateur.
Je vous renvoie donc si vous nel'avez pas fait depuis un moment.
Allez vous prendre cet été pour vous
détendre un café chez Nespressoou chez Mariage?
Donc, du coup,pourquoi est ce qu'aujourd'hui,
c'est intéressant de parler d'image demarque quand on est une TPE ou une PME?
Parce que là, je vous aicité des marques iconiques.
Mais évidemment, la marque,ça dépasse tout ça.
D'abord parce que la marque
est effectivement, je me disais un instantà toucher tous les secteurs d'activité.
Elle touche égalementtoutes les fonctions.
Autrefois, c'était il y aencore assez peu de temps.
C'était très associé à certainesfonctions marketing.
Je repense par exemple,au début des années 2000,
au livre 99 francs et aux filmsIl y a pas mal marché,
inspiré de l'ouvrage de Beigbeder,où on était très axé sur une publicité
outrancière, très axée, créatifet porteuse d'énormément de fantasmes.
Or, justement, la publicité de la marqueaujourd'hui, ça dépasse tous ces enjeux.
Vous avez par exemple le niveau RH,la marque employeur qui va toucher la RS,
par exemple, qui vous permet d'aller,qui va permettre d'aller capter
les meilleures recrues ou de fidéliserdes talents, par exemple.
Ça va toucher égalementles fonctions de direction.
Outre le lancement de nouveaux produits
qui impliquent en général un PDG,souvent le lancement d'un.
Peut être l'occasion d'utiliserune marque, d'utiliser un nom,
on va nommer son projet pour pouvoirmieux communiquer dessus.
Les ressorts sont les mêmes.
En externe comme en interne,par exemple, l'informatique.
Moi, quand j'ai commencé en tant
que consultant, ne s'intéressait pasdu tout à la marque, a énormément évolué.
Aujourd'hui, vous ne pouvez pas lancer
un projet informatique sans démarrerpar la marque, à travers évidemment toutes
ses composantes, comme on verratoutes ses composantes socle.
Je pense par exemple notamment à luipuisqu'il va être interface utilisateur
Allix, qui est du coup la navigationque va utiliser l'utilisateur.
Est ce que ces sujetslà l'expérience client?
Finalement, elle s'appuie sur les valeurs,socle de la marque.
Juste pour finir cetteintroduction un peu longue.
Pourquoi est ce qu'aujourd'hui,on se parle de cette image de marque?
Parce que c'est la manière dont onva être perçue votre marque.
Or, on est dans un monde où, chaque année,vous avez 40 de données supplémentaires
qui sont échangées,notamment dans le monde digital
qui est devenu un des vecteursprincipaux de vente 40%.
C'est énorme,
sachant que on a une statistiquequi est constante dans le temps.
Qui dit que pour percevoir un
intégré, un message publicitaire,
une personne doit y avoir étéen moyenne exposée cette fois?
Vous vous imaginez bien que vu le nombrede messages publicitaires auxquels est
exposé un prospect, un utilisateur,un consommateur, il va falloir évidemment
déployer une énergie importanteet donc s'organiser.
Donc aujourd'hui, pour pallier ça.
Il faut vraiment travailler son image
de marque et c'est ce que nous allonsvoir aujourd'hui en quatre parties.
La première, qui va vraiment êtrecentrée sur comment construire son image
de marque, ça implique d'encomprendre les ressorts classiques.
La deuxième qui va être sur comment
positionner cette marquedans un contexte nouveau.
Et là, on est sur la partie univers
digital qui change les règles du jeuà travers la captation de données,
la mesure de l'expérienceet la relation client.
On va avoir une troisième partie qui va
vraiment consister à réinterroger voscertitudes aujourd'hui,
vous êtes des entreprises établies,ce qui est intéressant.
Vous n'êtes pas du coup des start up,
en ce en tout cas d'après ceque vous m'avez dit par le Tchad.
Donc, ce qui est intéressant,
ça va être vraiment de comprendreà qui vous vous adressez.
Revoir vos stratégies commerciales
en fonction pour pouvoir aller vers ceque permet le digital aujourd'hui
la marque, à savoir segmenter, hyper,segmenter, voire personnaliser.
Et enfin, nous verrons quelques outilsà mettre en œuvre chez limmunité chaîne.
On essaye vraiment de créer un aller
retour, une itération entrela théorie et la pratique.
Et aujourd'hui, pour bien maîtriser ces
sujets là, il faut vraimentrentrer dans la pratique.
Qui sommes nous?En deux mots, moi, je m'appelle Mathieu.
J'ai fondé Huvenne Steichen,
qui est un organisme de formationqui est vraiment une startup centrée sur
la transformation.L'objectif, en fait,
c'est vraiment de déciles côté des sujetsqui, aujourd'hui,
sont vus de manière distincte à travers,par exemple, les organisations,
le marketing, le commercial,la création d'entreprise.
Notre enjeu, c'est vraimentde créer quelque chose, d'intégrer
une expérience différente à travers,par exemple, la gamification.
Excusez moi, j'ai cru que c'était Sabrina.
La gamification,le fait de pouvoir se former quand on
veut, d'où l'on veut,à n'importe quel moment.
Pour pouvoir être accompagné.
Nous, chez l'humain jeune,
on est persuadé que la formation n'est pasquelque chose de ponctuel,
mais c'est quelque chose qui doitvous accompagner dans le temps
et qui doit augmenter votremanière de travailler.
Donc, nos formations sont accessibles
pendant un an,systématiquement pour pouvoir vous
permettre de travailler et de faire desallers retours en fonction des besoins.
Et donc, c'est une autre manière
de travailler avec des tableaux de bordqui permettent soit à l'entreprise,
soit aux particuliers,soit même à des formateurs qui nous
rejoindraient de pouvoir mesureren permanence leur succès
en quelques mots.Aujourd'hui, on a en quelques années
à peine, formé l'annéedernière 1800 personnes.
On a signé notre premier grand compte
chez Otish, où on a forméà la gestion du handicap.
On a été un incubé dans un grandaccélérateur, School Lab.
D'ailleurs,
on peut revenir d'ailleurs sur les nomsdes incubateurs en deux mots.
Mais c'est vrai que Schollaertou Pépinière 27,
qui a été notre accélérateur ou start upHayeffes aujourd'hui, qui est très connue.
Vous voyez que même sur des sujetsqui touchent
à l'éclosion des startup,
on est sur un travail fort sur le nomet derrière sur l'image de marque.
Ce coup là, vous êtes vraiment sur le côté
école, laboratoire, pépinière,évidemment, sur les jeunes pousses.
Station F.
C'est intéressant parcequ'on est sûr du voyage,
quelque chose de mystérieux et en même
temps, la réincarnationde la station ferroviaire.
Donc, le pont entre le traditionnelet le futuriste.
Et puis, évidemment,
la parenthèse fermée.
On a également été intégré au projet
d'investissement à venir de la BPIet reconnu CPF.
Alors, je vais éviter de fairede ce webinaire une publicité.
Mais sachez néanmoins qu'aujourd'hui,chez Steichen, nous avons trois parcours,
dont un accès à prenants, un accèsentreprises et un accès formateur.
Des formateurs indépendants peuvent
en effet nous rejoindre et poster,créer leur cours très facilement.
On a vraiment travaillé Luyckx que mon
tout à l'heure, qui est un sujetimportant dans l'image de marque.
Et à chaque fois,
vous retrouvez des tableaux de bordqui sont adaptés à chacun,
ainsi qu'un blog et la possibilitéde créer des webinaires.
On a une équipe aujourd'hui qui est
composée de moi même, d'un développeuret de deux personnes sur la communication
en termes de références.
On a travaillé avec pas mal d'entreprisesque vous citez OTI à l'instant.
On a également un projet en coursde Livre blanc avec le Lab, RH, CPM.
Bien sûr, différentes entreprises
dans tous les secteurs,de l'énergie au digital.
Justement,
je tiens à préciser qu'on a formé
également au ministère des Armées pourqui on a créé un cours sur le digital.
On est également en lienavec différents incubateurs.
Pourquoi êtes vous là aujourd'hui?
Parce que le commercialchange vos commerciaux.
Peut être vendre moins.
Et vous vous apercevez également que vosclients ont besoin d'être renouvelés.
Peut être parce qu'aujourd'hui,
vous vous apercevez qu'ils sontde plus en plus versatiles.
Ce qui est intéressant, en fait,c'est que effectivement,
tout a changé.
Alors, comme on va le voir aujourd'hui, ledigital est très axé sur de l'omnicanal.
Plus d'impulsivité,une consommation plus porteuse de sens.
On va le voir dans un instant.
Ce que vous voulez commencer par vous
dire, c'est ce qu'il ne faut surtoutpas comprendre dans l'image de marque.
C'est surtout le percevoircomme un petit sujet.
C'est vrai qu'on peut avoir tendanceà penser à une communication.
Je le disais à instant outrancière.
Il y a la publicité.On va avoir.
99 francs, par exemple.
Est ce dire que la marque,
ça peut être quelque chosepour créatif, un peu perché?
De toute façon, ce qui compte,
c'est uniquement la qualité de sesproduits qu'il faut cesser ces trucs de.
Qu'une entreprise, du sérieux,
c'est du solide et qu'on ne voit pasdu tout pourquoi on va retourner
sur des aspects créa un peulié à la maternelle pour grand
et justement, en fait,c'est pas du tout ça aujourd'hui.
Si, si, on se rencontre sur l'image
de marque, c'est parce que le digital,c'est entrer dans une nouvelle ère.
Vous avez de nouvelles formes
de communication, vous avez de nouvellesformes de consommation également.
Des consommateurs aujourd'huivont utiliser leur smartphone.
Ils vont utiliser égalementleur tablette, leur ordinateur.
Donc, on est dans quelque chose qui est
à toutde qu'on va pouvoir communiqueranywhere from any device at anytime.
Et cette liberté,finalement, du consommateur.
Elle implique une nouvelle organisationde l'entreprise
et notamment une importance renouveléeautour de son image de marque,
c'est à dire la manière dont estperçue votre entreprise.
En fait,
cette nouvelle forme de communication,ce qu'on peut dire, c'est effectivement,
outre le fait qu'elles sont omnicanal,elles vont venir de différents
canaux, contrairement à la manièrede vendre précédente,
où on était par point de vente,voire avec un représentant commercial.
Là, aujourd'hui, on est dans quelque chose
qui floute les organisations avecavec justement une distinction moindre
entre ce qui était autrefois du ressortdu marketing et du commercial.
Donc, finalement,
la marque modifie la manière de fairedu commerce aujourd'hui
et on s'aperçoit aussi que les formesde consommation ont évolué.
On attend, comme je le disais à l'instant
de la marque, qu'elle soit porteusede sens, porteuse d'une expérience.
Les consommateurs sont plusversatiles, plus impulsifs.
On s'en rend compte aujourd'huidans toutes les études d'opinion
et du coup, ils attendent un lienprivilégié avec leurs marques.
Un n'échange.
Donc, comment créer son image de marque?
Rappel de quelques définitions.
Je vous le disais à l'instant.
La marque sait marquer les esprits,s'est laissé une empreinte indélébile.
C'est pouvoir se distinguer.
C'est donc informer.
Mais c'est également rentrer dans
une nouvelleapproche où on n'est plus uniquement
informatif, mais où onest porteur de sens.
On va rentrer dans un échange.
Ce que je voulais vous rappeler en deuxmots, c'est finalement une société.
Ça repose sur l'institue personnelle,
c'est à dire qu'une société,c'est une personne morale en droit
français, une personne morale, ça signifiequ'on est légal d'une personne physique.
On n'est donc pas un objet.
On est une personne en droit,susceptible du coup
d'être soumis à la législationexactement comme une personne.
Eh bien, finalement, la marque,c'est ce qui va donner la personnalité
à cette personne morale,tout comme un individu.
L'un de vos amis va avoirune personnalité propre.
Par exemple, vous allez rencontrer Paul
pour qui vous informe Pierreparce qu'il vous fait rire.
Jacques parce qu'il partage vos passions.
Parce que avec tous,vous avez un historique commun.
C'est exactement pareil avec une marque.
Il faut le voir comme une personne.
C'est ce qui va donner du style et c'estce qui va vous permettre, vous,
en tant que chef d'entreprise,de rentrer en relation avec.
Donc, quand vous rencontrez un client
en 2020 2021, c'est demain,vous allez avoir deux casquettes.
Vous allez avoir d'un côté la casquette
chef d'entreprise, moi, monsieurou madame le chef d'entreprise.
Et puis de l'autre,vous allez porter une image de marque
qui va être en fait votre double,votre deuxième personnalité.
Et elle est aussi importante,
voire plus importante qu'avantpour pouvoir faire du commerce.
Donc, je vous le disais à l'instant,on connaît tous des marques.
Elles reposent toutes sur des valeurs.
Elles ont toutes une personnalité propre
et elle ne s'adresse donc pasaux mêmes personnes.
Ce qui est intéressant, du coup,quand on dit ça,
c'est de pouvoir caractériser son imageà soi, son image de marque propre.
Et là, par exemple,je vous renvoie à Cap-Ferret.
Depuis les années 90.
Ça, c'est quelque chose d'assez stablequi a bien fonctionné en publicité.
On a un graphique que je voudraiséventuellement pouvoir partager.
D'ailleurs avec vous,
est ce que je peux?
Oui,
c'est le graphique de KPRF sur la marque
qui permet de définir vraiment les traitsde personnalité d'une marque,
sa personnalité, sa culture,son image de soi.
Je vais vous projeterle graphique tout de suite.
Et puis également son physique,
sa relation aux autres,sa réflexion sur soi.
Alors, est ce que je peux partager ça?
Réactions partagées activerle partage des grands.
L'intégralité de votre écran?
Est ce que je peux faire ça?
Ça ne voit rien.
Ça devrait fonctionner.
Ouais, ouais.
N'hésitez pas, chers participants,à vous mettre la fenêtre en plein écran.
Peut être que vous aurezune meilleure visibilité.
A écouter, je n'y arrive pas.
Est ce que cette image serait mieux?
Ci cimeterre!
Est ce que vous avez des questions?
J'y suis.
Bonjour Armel!
Donc, là, vous devriezvoir justement apparaître.
Ce fameux graphique de Cap Ferrère.
Sur la marque Chanel,il n'apparaît pas.
Je pense qu'il y a un petitproblème de partage d'écran.
Ou alors tant pis.
Du coup, je vais poursuivre.Ce qu'il faut retenir,
c'est si vous pouvez prendre un papier,un stylo, vous créez un hexagones.
Vous allez pouvoir vraiment construire,
définir, analyser la personnalitéde votre marque actuelle.
Par exemple, si on prend Apple,
on va être sur une personnalité qui vaêtre un peu cool, simple, innovante.
Si vous êtes sur la partie culture d'APL,vous allez vraiment
croire dans le changement.
Avoir cette liaison avec la cultureaméricaine et le fait de croire au self
made même d'apporter le pouvoirde l'informatique au vent,
d'apporter de l'innovation scientifiquevraiment à l'individu et non pas
aux entreprises, est dans une image,une marque de soi.
Ou si vraiment on devait imaginerquelqu'un autour de la marque Apple.
On imaginerait quelqu'un de jeune, de fun,
quelqu'un qui sait une marque qui vousfait sentir, vous sentir un peu spécial.
En fait, c'est importanten termes de réflexion sur soi.
C'est une marque qui va apporter de l'autoamélioration, c'est à dire que on peut
toujours tous apprendre et s'améliorer,grâce d'ailleurs à toutes les applications
en général qui sont vendues avecle smartphone ou l'application
dans une relation à la marquequi va être amicale, émotive.
C'est souvent un attachement profond,
viscéral et avec un physiquequi est différent.
Notamment, vous pouvez l'incarner par ce
fameux logo de la pommequi qui à l'époque ca a été très rupture
par rapport à ce qui sefaisait dans l'informatique.
Pensez, par exemple,
publicité d'IBM des années 70aux années 2000 ou Big Blue, justement.
C'était vraiment du produit Guerrini,
qui ne travaillait pasforcément son design.
Voilà, donc je voulaisfaire le point rapidement.
Est ce qu'à ce stade,vous avez des questions? Est ce que vous
voulez qu'on abordequelques points précis?
Il y avait une question de shading
qui demandait si vous pouviezintroduire des secteurs vitaux.
Votre explication?
Une remarque.
Alors, le secteur Be to be on s'adresse
de toute façon à des clientsqui sont des particuliers.
Une entreprise aujourd'hui,qui va vous acheter quelque chose?
Elle est soumise.
De même, que que ce soitdans une entreprise ou en tant
que particulier, elle est soumiseà cet impact de la marque.
Seulement, elle réfléchira peut être,elle, aux valeurs de la sienne.
Ce que je veux dire par là,c'est qu'aujourd'hui,
quand vous vous adressez à un individuqui est dans une entreprise,
lui aussi porte ses deux casquettes,sa casquette achat, par exemple,
et sa casquette représentantdes valeurs de son entreprise.
Donc, du coup,c'est des relations de marque à marques.
Ce que je voulais aussi vous dire,c'est que aujourd'hui,
vous vous rejoignez en fait en tantque fondateur de Три et Me Metis,
avec le sentiment que vousdevez travailler cette image
et que, de toute façon,vous vous voulez effectivement faire ce
webinaire pour vendre parce que c'estquand même le nerf de la guerre.
Mais la vente est un processus.
C'est un processus sur lequel
va fonctionner parce que vous appuyezsur une image de marque réussie.
Justement, quand je dis ça,
c'est qu'il faut avoir en têteune image de marque réussie.
Une vente réussie reposeavant tout sur la marque et l'image
de marque n'est pas la marque,mais la marque quand même.
Vous regardez le premier cercle,le socle de base,
un socle qui repose sur un nom, sur unlogo, sur une publicité, sur un design.
C'est également aujourd'hui quelque chose.
L'image de marque qui dépasse la marque,
qui repose sur l'expérience client et,au final, sur toute la relation client.
C'est à dire que la venten'est pas un moment ponctuel.
Si c'est un processus,alors c'est quelque chose qui va au delà
de l'acte d'achat,même si, bien évidemment,
la marque va vous servir à jouersur l'acte de consommation.
Exposition à la marque Expérience client,relation client pour améliorer vos ventes
et fidéliser vosutilisateurs consommateurs.
Donc, aujourd'hui, votre marque,elle repose sur des valeurs.
Ça, c'est quelque chosede fondamental à comprendre.
Une marque incarne une plateforme
de valeurs comme on voyait tout à l'heuresur le graphique de Cap Ferrère.
Donc, vous pouvez vous aujourd'hui penser
aux valeurs de votre marque,que ce soit en B-to-B ou en.
D'ailleurs, le nom, le logo, la la haine,elle n'ont comme vocation que d'incarner
justement ces valeurs sur lesquelles vousallez ensuite pouvoir construire votre.
Votre expérience utilisateurva vous permettre ensuite de gagner
en visibilité, en crédibilitéet donc d'augmenter vos ventes.
Donc, voilà à retenir.
C'est la marque repose sur un soclequi lui, est assez stable en tant logo,
pardon, nom, logo, baisent line,charte graphique également.
On va dire le soclequi incarne les valeurs de la marque.
Et puis, au delà surtout,
ce qui va être lié à l'expérience,comme on va le voir dans un instant.
Aujourd'hui, vous pouvez me donner
quelques noms, justement de vosmarques par le biais d'une charte.
Vous pouvez me dire quels sont les noms
que vous avez choisi et les valeurssur lesquelles repose vos marques.
La armée peut être?
Bon, mais je continue donc
à avoir ce socle, en fait,Alito altérité plus isos,
c'est un très bon exemple.Là, on va être sur un incréé.
Vous avez différents types de noms
sur lesquels vont pouvoir reposerla marque et l'image de marque.
Vous avez des nomsqui vont être signifiants.
Vous avez des noms créés,avez des acronymes.
Au début du siècle, par exemple,on était beaucoup sur des noms type
SNCF Société nationaledes chemins de fer, RATP Régie
des transports publics
et on est passé sur des un travail
beaucoup plus importantavec des noms créés comme Google.
Vous voyez bien que Google, en soi,n'est pas porteur de sens pour reprendre
les noms qui me sontdonnés à l'idiot impactés.
Concept non plus Hyber Stream non plus.
Par contre, autour de ça,vous pouvez raconter une histoire.
Vous avez également des nomsqui sont plus signifiants.
Je pense par exemple à la marquede thé que je vous présente, Eléphant.
Et puis,
vous avez des chosesqui vont être plus iconic.
Alors là, en l'occurrence,
je vous ai présentéle logo de Chanel dans lequel vous ne
trouvez pas le nom, justement,ce qui est assez intéressant.
Donc, le mix marketing va se nourrir
justement de ce nom, de ce logopour construire, par exemple, une image.
Chanel a choisi de ne pasmettre son nom dans son logo.
On est sur un logo iconique.
La SNCF, au contraire,garde son acronyme bien présent.
On est sur un logo alphanumérique,
tout comme Google et surle graphique Éléphant.
Vous voyez bien qu'il ya un dessin en plus de.
On est sur un mix alpha,numérique et iconique.
OK,
donc, là, vous m'avez cité vos non alignés
sous IP Stream, Pomone Fashion Lab,c'est très bien,
mais vous voyez bien que ce qui estintéressant, c'est autant ce que va dire
le nom de vous que sa capacitéà évoluer dans le temps.
Il faut une certaine forme de plasticité
pour qu'un nom puisse évoluer,c'est à dire que pour que votre logo
puisse l'accompagner, mais égalementvotre base line l'abaisse line.
C'est un sujet important puisque ça va
permettre de créer un effetqu'on appelle Résonnances.
Là, vous en citer quelques unes.
La paire, il n'y en a pas deux.
Par exemple, quand c'est trop,
c'est Tropico Cdiscount,créateur de pouvoir d'achat.
Mars, le dieu de la guerre ou la planète?
Et ça repart.
Apple signe différent.
Vous voyez quand même à chaque fois
des sujets qui vont êtreun moyen pour le concepteur de la marque.
Vous vous rappelez justementsur les valeurs de la marque reprenant
Apple parce que c'estun sujet très intéressant.
Apple a vraiment mis l'accent dès
le départ sur une marque qui ades valeurs fortes liées à l'innovation.
On va penser par exemple à la pomme
de Newton, qui permetd'expliquer la gravité.
Donc, on est sûr de la science.
On est sur une anecdote.
On est aussi finalementsur de l'intuition.
Or, Apple partait du principe
que l'informatique devaitpouvoir être accessible à tous.
Mais au delà, vous avez une plasticité
qui permet en fait des évocations bienplus larges et donc de s'adresser
à des segments de consommateursdifférents, par exemple.
C'est également biblique,la pomme de la connaissance.
Donc ça va parler à tous ceux qui veulent
dévoiler et qui veulentcomprendre les ressorts.
On va être ancré dans les années
rock années 70 puisque finalement,la pomme est aussi le logo des Beatles.
On est sur de l'innovation rebelle puisque
ça fait penser à Yann Turing,un scientifique connu qui est
considéré comme un des précurseursde l'informatique,
qui avait aidé les servicesde renseignement britanniques pendant
la guerre à déchiffrer Enigma, la machinequi permettait de coder,
les crypter les messagesdes Allemands pendant la Deuxième Guerre
mondiale et qui s'est suicidé,qui est devenu une icône.
Il s'est suicidé, notammenten mangeant une pomme empoisonnée.
Tous ces sujets permettent de développerderrière une communication qui va pouvoir
évoluer dans le tempssans forcément changer la marque.
Donc, je vous rappelle quelques principesde base, en fait, de ce que c'est
une recherche de marque réussie.
En fait, ces sujets là vont vouspermettre, derrière,
de rebondir et d'aller tisser votre toileautour d'une image de marque réussie.
Un nom de marque,ça se construit sur des significations,
des valeurs, des évocations et vous pouvezutiliser pour cela
toutes les figures de style qui vont vouspermettre d'aller chercher justement
élargir les représentationsde ces valeurs.
Exagérations, métaphores,analogies, glissement sémantique.
Vous pouvez aussi choisir du nom créé,
mais également du nom signifiant là,la langue n'est pas neutre.
Petit rappel.
Mais effectivement, le français,par exemple, vous permettre d'être ancré
sur du produit national madein France, par exemple.
l'Anglais va faire plus mondialisé.
En général, on a tendance à dire dans lesagences de naming que c'est plus jeune.
Le grec, le latin est plus statutaire.
On sait, par exemple produits d'assurance.
Vous verrez que c'est souventinspiré de sonorités latines.
Et puis, du coup, derrière,vous avez des sons qui vont être différent
de sont plutôt doux, avec des lazialelangue et dentelles.
Là, on va plutôt sur des marques un petit
peu plus fort gutturales,des liquides, des nasales, des sifflante.
Bref,
je vous laisse expérimenter en fonctionde ce que ça fait surgir chez vous.
Donc, le nom est important,le logo la baisent.
Line vous permettent d'illustrer,
de faire entrer en résonance pour créerjustement un équilibre parfait.
Un peu comme dans les vins, une marqueréussie, c'est une marque équilibrée.
Et puis derrière,
vous allez raconter une histoire,un storytelling qui va reposer, en fait,
sur à la fois l'ensemble des composantesde la marque, le nom sur lequel on a fait
un long passage, mais égalementtout le service client.
Agencement du magasin.Service après vente.
Qualité des produits.
Décoration des vitrines.
Accueil réservé à la clientèle.
Et ces éléments là,qui sont plutôt à rapprocher d'une
expérience de magasins physiques, peuventse transposer également dans le digital.
Aujourd'hui, on parle de sites vitrines.
On est également dansde la relation client.
L'agencement du magasin,ça se rapporte à l'architecture du site
Internet et à la navigationau side mapping.
Donc, les mêmes éléments finalementreproduits dans le digital.
Il y a aujourd'hui une permanence de ceque c'est qu'une image de marque réussie.
Continuons sur notre exemple d'APL.
Vous voyez que le logo a évolué
dans le temps tout en restant touten ayant quand même une stabilité.
Si finalement, la forme de la pomme n'a
pas changé, la manière de l'incarner,elle a énormément.
Sur ces 40 50 dernières années,
et ça a pu accompagner une évolutiondes produits assez majeurs
entre les premiers iBook, puistout tout ce que vous trouvez aujourd'hui
avec.
Du coup, si vous regardezune stratégie de marque également qui va
s'appeler affiliation,on est aujourd'hui sur ce qui va être
fait.
Les produits Apple utilisÃdevant un iPhone,
faitune iMac, iBook et ainsi de suite,tout comme, par exemple,
Danone l'a fait avec ses Danette,Danaos, Nestlé avec Nespresso.
Vous avez aujourd'hui des stratégiesde marques de renommage
qui, qui dépendent en fait, ne rentrentpas dans la complexité de ces sujets là.
Parce que je voudrais pas vous noyer,je trouve que c'est déjà assez dense.
Mais sachez qu'aujourd'hui,
ce socle est stable et n'a pas étéfoncièrement impacté par le digital.
En revanche, ce qui va changer,
c'est vraiment à qui vous vousadressez vos personnages.
Le personnage sait quelque choseaujourd'hui qui remplace les archétypes,
c'est à dire la notion Avènede l'utilisateur type.
Pendant longtemps, en marketing, on aparlé de la ménagère de moins de 50 ans.
Et effectivement, la réclame.
La publicité s'adressait à cette personne
censée être la consommatrice du ménage,donc prendre les décisions que c'était
elle qui, finalement,était la cible des publicitaires.
On a évolué progressivement et finalement,c'est cette progression
a accompagné le digital vers cequ'on appelle des personnages.
Le personnage, finalement,
c'est un proto conceptqui va se nourrir de social,
c'est à dire des caractéristiquesobjectives d'un consommateur,
un consommateur qui vaêtre jugé finalement sur
son origine géographique,son sexe, sa langue.
D'où il vient.Quelle est sa CSP?
Ainsi de suite,
qui va également être avoirdes caractéristiques plus affectives?
Quelles sont ses préférences aujourd'hui?
Par exemple, des éditeurs de publicitétels que Google ADS vous permettent
de cibler selon les préférences desindividus et des principes que nous tifs.
Comment ils se déplacent finalementsur votre site avec des outils aujourd'hui
qui vous permettent de regarder vraimentquelle est la navigation et d'enregistrer
cette navigation pour voiroù la personne bute donc
penser aujourd'hui?Vos prospects actuels,
pensez vous personna ce conceptissu de la psychologie?
Jörgen est intéressant parce qu'il fautle considérer comme un masque social.
Donc, vous n'allez pas prendre
des utilisateurs type existant,mais vous allez essayer, par recoupement,
par segmentation,de reconstruire des utilisateurs.
Voyez ici, on a pris une photographie
d'Eric Rize parce qu'on étaitsur un un responsable incubateur
accélérateur chez Lumen Steichen,qui était quelqu'un qui aimait finalement
lire Les Échos, la Bourgogne qui adore lesweek end en famille, catégorie affective
sur le côté social.
C'est quelqu'un qui a 45 ans,qui est marié, qui est chef d'entreprise,
qui se considère commeexpert de son métier.
Et du coup, sur les partiesplus cognitives, ça dépend.
J'ai envie de vous dire peut êtreque c'est quelqu'un qui n'est pas très
à l'aise avec son smartphoneet plus avec son PC.
Donc, il va y avoir un certain nombre
d'usages très particuliers,justement, à ce personnage.
Vos personnages, vos segments,vous pouvez en avoir plusieurs.
Et justement, ça s'intègre dans cette
nouvelle stratégiede Customer Centric City.
On a vu que vous aviez plusieurs usages
qui correspondaient au digital,qui étaient omnicanal et qui faisaient
que votre marque était aujourd'huipour ne pas être moyer.
Elle devait vraiment créer,tisser une relation.
Cette relation voulait être tissée grâce
à des personnages qui vous permettentd'entrer en empathie,
de comprendre davantage vos clients,de vous projeter votre marque.
Elle va être non pasdans une communication descendante,
mais dans un partage,dans une relation complète.
Pour ça,
les entreprises d'aujourd'hui créentdu commerce entre City,
c'est à dire qu'elles,elles font en sorte de s'organiser
pour aller capter de la donnée et de cettedonnée qu'elles vont sortir ces personna
pendant longtemps, sans doute quandvous avez créé votre entreprise.
On disait aux chefs d'entreprise utiliser
des enquêtes de satisfaction,des sondages, des études d'opinion.
Finalement, le consommateur,
c'est un peu une boîte noire qui étaitéclairée soit par l'expérience du chef
d'entreprise, soit à un moment donné pardes enquêtes qui allaient être créées.
Aujourd'hui, on est dans un monde très
différent et ce qu'il faut avoir en tête,c'est que ce n'est pas très cher à créer.
Vous pouvez lancer un CRM,par exemple spot.
Je vous conseille et capter des données,
soit individuelles, soit collectivesen termes de données individuelles.
Moi, par exemple,toutes les personnes qui s'inscrivent
sur l'humanité Steichen eh bien,elle en elle, elle s'appelle remplissent
un formulaire sur la chaîne qui estautomatiquement corrélée à votre CRM
et du coup, qui arrivedans ma base de données.
Et du coup, dans cette base de données,
je vais pouvoir savoir quandest ce que vous avez ouvert?
A quelle heure?Combien de fois?
Quels sujets vous ont intéressé?
Je vais pouvoir créer des regroupementsentre, par exemple, mes particuliers,
mes formateurs, selondifférents chemins et ces différents.
Mais évidemment, ils doivent correspondre
plus ou moins à différentes expérienceset donc y différents personna.
Voilà donc ce très intense.
J'espère que vous m'avez suivi.
Est ce qu'à ce stade, vous avez desquestions avant qu'on puisse continuer?
Question Quel est
donc ce qu'il faut retenir,
c'est que ces données que vous allezcapter, qui implique que vous repensez
la manière d'organiser votreentreprise autour de la marque.
Elles sont données soitde manière volontaire.
Aujourd'hui, en tant que consommateurs,vous allez par exemple remplir
un questionnaire, remplir un formulaire,remplir un certain nombre de
points d'accroche de zonede contact avec la marque,
repenser finalement à cettemétaphore tout à l'heure.
Si ma marque fait elle Pierre?
Quand je rencontre Pierre,
je suis prêt à lui offrir quelquechose pour le rencontrer.
Je vais lui offrir un verre.Je vais lui offrir un moment.
Je vais lui offrir un cadeau et en lui
offrant quelque chose,en en faisant du don.
Je rentre en fait dans un échange,une zone de contact qui va me permettre
moi même de capter des informationspuisque je vais parler à Pierre.
C'est exactement la même chose dans votre
dans votre communication avec vosutilisateurs, vous entre en empathie.
Vous créez un parcours adapté à cette
personne et au cours de ce parcours, vousallez positionner des zones de contact.
Certaines zones de contact sont visibles.
Elles sont dites volontaires.
Ça peut être un formulaire.
D'autres sont invisibles.
Même si aujourd'hui, la CNIL, par exemple,
impose aux entreprises de prévenir,par exemple en cas de récolte de cookie
ou d'adresse IP, la plupart du temps,vous n'y faites même pas attention.
Et pourtant, vous êtes tracés.
On parle de script,c'est à dire des petits morceaux de code
qui sont faciles à utiliser,qui sont produits par exemple par votre
CRM et qui vont vous permettre,en tant que chef d'entreprise,
d'aller glisser des élémentsdans votre site Internet vous même.
Donc, il n'y a pas de grande complexité.
Ce qui est intéressant, par contre,c'est que derrière les algorithmes
de votre cérémonie,vous allez capter ces données là.
Vous avez d'autres outils, par exemple.
Hajjar, c'est un enregistreur d'écran.
Là, vous regardez mon épinard.
Imaginez que demain,vous regardiez votre site et vous puissiez
rembobinage l'expérienced'utilisateurs individuels.
On est plutôt dans du qualitatif.
Cette fois ci, vous faites triplait
et vous voyez à quel moment une personnen'a pas cliqué sur un bouton.
Ces fameux call to action qui vous
permettent en faitde rentrer dans ce qu'on va voir
à l'instant, c'est à direun tunnel de vente.
Alors, pour vous perdre,
ce que je voulais voir, c'esten deux mots vous rentrez aujourd'hui
dans un conceptdifférent de la marque qui vous permet
de rentrer en relationpour étendre finalement votre vision
du commercial d'un moment ponctuelà une relation qui doit aboutir
à une satisfaction telle que votreconsommateur est heureux.
C'est un terme qui vient de H'mông Maurya,qui est l'un des inventeurs du lean
startup, un sujet très en voguedans la Silicon Valley,
mais qui peut s'appliquerà n'importe quel type d'entreprise.
En gros, ce qu'il faut retenir,
c'est qu'un consommateurheureux va vous recommander.
Il va devenir votre ambassadeur et que lebonheur, ça n'est pas la satisfaction.
Donc, il faut à nouveau partirsur des schémas de pensée différents.
Ce que vous visez aujourd'hui,c'est un client qui est versatile,
qui cherche à avoir une expérience parceque sa consommation, elle,
est porteuse de sens et que même quand ilprend un café Nespresso, par exemple,
eh bien il va consommerdu ristretto de l'Italie.
Il va être dans un moment qui valui faire penser à What else?
Et donc avec un certain chic.
Bref, il ne consomme pas que du café.
Et pourtant, le café,c'est vraiment un produit de base.
Imaginez vous si vous vendez du conseil,par exemple, si vous vendez n'importe quel
type de service, c'est vraimentà ne pas prendre à la légère.
C'est à dire que vous avez créé par votreimage de marque une relation en elle même,
des évocations qui vontnourrir cette satisfaction
conso.Vous connaissez tous cette statistique,
mais il est 25 fois plus cher d'acquérirun consommateur que de le fidéliser.
Selon une étude de McKinsey,
ce qu'il faut comprendre, c'est vraiment
que la fidélisation passe par l'entretiende cette relation et du coup,
que cette relation,elle passe aussi par interroger au fur
et à mesure de son parcoursd'achat et d'utilisation.
Votre consommateur,
donc, si vous n'avez qu'une choseà retenir, c'est que même un formulaire
de satisfaction vous permet de fidéliserun consommateur et 30% plus prévisible.
Si vous vous interrogez,
vous pourrez lui apporter les réponsesadéquates, vous pourrez fidéliser.
Si vous êtes une petite entreprise,ce qu'il faut avoir en tête,
c'est de revoir finalement votre valeur.
Votre parcours utilisateur.
Ici,il faut vraiment avoir en tête
que la stratégie digitale,elle, se résume à cette SLED.
Vous êtes chef d'entreprise aujourd'hui,vous savez vendre.
Et pourtant,est ce que vous avez construit votre site
Internet et votre consommation digitaleautour de votre image de marque?
Est ce que vous avez construit cette image
de marque autour d'untunnel d'acquisition?
Vous êtes un petit pirateici qui s'appelle Art.
Il pousse ce cri guttural d'abordagepour aller capter ses nouveaux clients.
En fait, derrière ce graphique du pirate,on a un moyen mnémotechnique qui est
le tunnel de vente qui passepar l'acquisition.
Le premier a l'activation,le deuxième à la rétention,
le troisième le référera, le quatrièmele quatrième lettre et le revenu.
Ce qu'il faut retenir de cette théorie,
c'est d'abord qu'elle fonctionneet qu'en fait, c'est tout.
Tout consommateur qui arrive à un momentdonné en relation avec vous.
Vous devez les emmenerà approfondir leur relation.
Pour cela, vous avez différentes
stratégiesque va nourrir votre image de marque
pour pouvoir les emmener àdivulguer des informations sur eux.
Mieux les connaître.
Améliorer vos personnages et donc créerune itération favorable avec vos marques.
Vous avez évidemment des stratégies plutôtcomplexes parce que je vous disais tout
à l'heure vous pouvez aller trèsloin dans l'analyse de vos données.
Vous avez des stratégies plus simplesaujourd'hui si vous avez un petit budget.
Ash Maurya, qui est pourtant l'undes fondateurs de ces théories,
il considère que vousdevez avoir des warning.
L'intuition des chefs d'entrepriseest aussi fondamentale.
Dans tous les cas, retenez que c'estdes principes d'hypothèses.
Évidemment, plus vous avez de données,plus aux hypothèses sont fiables.
Mais néanmoins, une hypothèse resteune hypothèse et une analyse.
Ça implique de finalementtraduire ces résultats,
même avec peu de donnéeset dans l'incertitude.
Votre intuition de chef d'entreprise est
fondamentale pour répondre à votrequestion sessiles acquisition.
Si je prends aujourd'hui une publicité,par exemple, un poste que vous poser
sur les réseaux sociaux,ça va être sur le nombre d'impressions.
Si vous êtes le nombre d'impressions,
c'est le nombre de fois où, par exemple,sur votre mur d'actualités et vu un post,
l'activation, c'est vraiment le momentoù la personne s'engage dans la relation.
Elle clique sur un call to action,
un bouton pour pouvoir obtenirquelque chose de vous.
Don, ça va être,par exemple, un livre blanc.
Ça va être qu'elle a envie d'ensavoir plus sur une de vos offres.
Bref, elle va s'engager.
Là intervient la rétention, la rétention.
C'est le temps pendant lequel vousallez fidéliser la personne.
Ça va être le temps pendant lequelune personne va rester sur vos pages.
Et là, le revenuintervient où le référent alors?
En fait, selon les stratégies.
Vous avez différentes analyses.
Vous avez des start uppers?
Par exemple, Maurya,
que vous devez d'abord convaincreun petit noyau dur de fidèles.
C'est un peu vos bolchévik,
votre armée rouge, les early adopters.
Eux, ils viennent en amorce de phase.
Ils sont convaincus pour diverses raisons,parce que parfois, c'est la famille.
Parce que parfois,c'est des clients que vous avez déjà
fidélisé et donc vous arrivez à amenerplus facilement sur des offres.
Mais c'est ces personnes là qui vont vous
recommander derrière et qui vontvous permettre d'avoir du revenu.
C'est aussi avec elles que vous allezpouvoir perfectionner vos produits.
D'autres start uppers pensent au contraireque d'abord, vous devez faire la preuve
du concept gagné du revenu et qu'ensuiteseulement vous avez des ambassadeurs.
Vous pouvez fonctionnerselon les deux principes.
Donc, une fois que vous avez en tête votre
tunnel de vente, vous devez penserfinalement à la collecte des données.
Alors ça, c'est vraiment un point central.
C'est qu'aujourd'hui 2, cet échange
va naître des fenêtres,des contacts que je vous le disais tout
à l'heure, qui vont vouspermettre de collecter la donnée.
Chaque.
Voilà donc la donnée,
vous allez la contacter, vous allez lacapter sur différents points de contact
tout au long du processusd'achat et également après.
Il y a quelques années, par exemple,
La Poste avait mêmeutilisé créer un service.
C'était
Docapost, je crois, ou il utilisaitles factures pour créer un lien.
Par exemple, imprimer au verso d'une
facture une nouvelle offre,créer un bon d'achat sur la facture.
Vous avez effectivement des stratégiesqui vont être plus classiques.
Le bouche à oreille, les réseaux sociaux,d'autres qui vont utiliser la publicité,
par exemple l'ad facebookers Lindy ads,qui sont des éditeurs vous permettant
d'aller capter de la donnéesur votre site.
Vous avez bien entendu votre site en luimême, avec des formulaires que vous pouvez
glisser et qui vous permettentde réunir de l'information segmentée.
Je sais que telle personne qui a cliqué
sur ce lien pour télécharger ce livreblanc est intéressé par ce sujet.
Alors au contraire,elle personne qui a passé cinq minutes
sur cette page est plutôtintéressée par tel autre.
Et puis évidemment, derrière, aprèsl'achat, je parlais de la facturation.
Mais vous n'avez plus classique
le formulaire, par exemple,de satisfaction,
le suivi, les enquêtes, bref,tout un ensemble de choses,
jusqu'aux remerciements ou aux réductions,aux points gagnés, etc.
Je vous renvoie à des chosesassez classiques en marketing.
Donc retenez que ce qui est très importantaujourd'hui, est ce que permet le digital,
c'est de capter de plus en plus de donnéeset que cela implique en fait de revoir
votre parcours utilisateurselon vos personnages.
Vous n'aurez pas le même parcours si leparcours classique est assez simple.
Peut être, par exemple sur une demandede devis demande de rendez vous,
télécharger un document,création de comptes,
effectuer un paiement, commander derrière,vous avez de multiples zones de contacts.
Donc, ce que je vous conseille,c'est de vous poser la question de comment
aujourd'hui,mes consommateurs fonctionnent.
Quel est leur newsun journey,
c'est à dire leur voyage utilisateur,leur voyage consommateur et à partir
de là, de positionner, de créer en faitle schéma d'une vente classique?
Pensez à vos personas.
Vérifiez que tout le mondefonctionne de la même manière.
Interrogez effectivement éventuellement
des outils comme objets pour voirsi ces parcours fonctionnent.
Regardez également vos outils d'analytics,
par exemple Google Analytics, pour savoirsi vos hypothèses sont justes.
Est ce que effectivement,
les personnes passent autant de tempsque ce que vous croyez sur votre offre?
Ou est ce qu'ils passent plusde temps sur votre équipe?
Et c'est peut être d'abord par l'équipeque vous allez les emmener sur l'offre.
Bref, songez,en fonction de ces informations,
à vos parcours et positionner des zonesde contact dans lesquelles vous allez
créer des collections,des appels à l'action,
c'est à dire des boutons sur lesquels onva pouvoir et grâce auxquels vous allez
donner quelque chose en échangede données volontaires.
Donc, on a vu aujourd'hui la conquête.
On a vu l'échange.
On a vu la collecte.
Ce qu'il faut savoir,
c'est qu'aujourd'hui, le digital vouspropose de multiples outils d'analytics
que vous allez utiliser notammentà travers Google Analytics.
Donc, si aujourd'hui vous avez un site
vitrine abandonné,le concentrez vous plutôt sur vous.
Je sais que c'est à la serpe,mais concentrez vous plutôt sur des sites
sur lesquels vos équipes marketing ou vousmême vous avez la main pour pouvoir
facilement créer de la communicationet justement, utiliser ces données.
Donc, vous avez des outils très simplesdu WordPress qui fonctionnent
par des thèmes qui vous permettentd'avoir des sites hyper pros.
Ce n'est pas très cher d'entretien.
Ça vous permet de faire travailler desagences de com, de design, de graphique.
Ça vous permet de mieux travailler votreexpérience utilisateur et surtout,
payer beaucoup moins cher en maintenance,surtout derrière.
Vous pouvez connecter ça à des outils
proposés par Google qui sontvraiment pas chers.
Google Analytics, c'est la base.
Ça va vous permettre de savoir
par où passe aux utilisateurs,de quelle zone géographique ils
proviennent, quel est leur âge,quelles sont leurs préférences.
Ça va aussi vous permettrede fixer des objectifs.
Par exemple, j'aimerai que de tellespages soient plus consultées.
J'aimerais que telle page aboutisse
à des clicset ainsi de suite pour voir justement
si vos hypothèses sont avérées et si vosparcours utilisateur fonctionnent.
Vous pouvez créer des formulaires si vous
n'avez pas encore poste ou un formulairetype CRM type Celse force.
Je vous engage à faire ça dès aujourd'hui,vous verrez.
Globalement, c'est des outils qui sont
récurrents, certes par abonnement,mais qui vous coute pas très cher
par rapport à tout ceque ça peut vous amener.
Et ça vous permet de créerdes statistiques.
Moi, je sais en permanence combien j'aide femmes sur mes réseaux sociaux.
Je peux faire du multi posting,c'est à dire poster sur tous mes réseaux
sociaux en même tempsdepuis un seul outil.
Ça me permet de travailler plus
en profondeur mes messages puisquedu coup, je m'extraire de la cuisine,
de balayer sur chaque réseau socialpour poster à différentes heures, etc.
Ce qui est épuisant.
Du coup, ça me permet de penser en termes
de campagne et ce qui est fondamental,comme on va le voir.
Retenez bien ce mot campagne et
derrière, vous avez effectivement
les éditeurs de publicités Google,Facebook qui aident les lignes d'Innate
qui vous aident à positionner vospublicités et du coup,
qu'ils vont avoir à cœur de vous aiderà beaucoup plus segmentées à savoir qui a
cliqué et du coup par algorithme, aprécisé de plus en plus fameux personna.
Voilà, la boucle est bouclée,donc on parlait de campagne à l'instant.
Une campagne, c'est au cœur finalement
de tout ce qui va être imagede marque et derrière communication.
Ça fonctionne.
Une campagne, ça fonctionne par objectifs,
ça fonctionne par message et ças'inscrit dans un plan de communication.
Tout fonctionne aujourd'hui par campagnede Google, aide à votre odeur
de marketing, c'est à dire vos envoisde newsletter, à la manière dont vous
consommez vos processus client,vos tunnels de vente.
La campagne est vraiment au cœur
de l'entretien d'uneimage de marque réussie.
Vous voyez, ici, on est sur unecapture d'écran de Google ADS.
Justement, elle vous permetde penser par campagne.
Elle vous permet de fixer des objectifs
en fonction, par exemple,de vos différentes pages.
Etvoilà, ce qu'il faut retenir,
c'est que la campagne va se menerà la fois sur le plan publicitaire.
Elle va mener sur le plan de vosactions vers l'extérieur.
Bon marketing, par exemple,
l'envoi d'une newsletter,par exemple, du Post-it sur les réseaux
sociaux, par exemple,l'envoi d'un mot binard.
Donc, si vous retenez,
si vous repensez à la statistique de toutà l'heure, un message réussi sur votre
image de marque, un messagepublicitaire réussi implique.
Cette expositionimplique qu'un consommateur a été exposé
cette fois,réussir justement ces campagnes.
Cela suppose une vraiecohérence dans vos messages.
Nous, on vous conseille d'avoirun à deux messages maximum
sur des campagnes de 15 jours au plus,déclinées sur six ou sept supports
qui vont aller du visuel au binard,à la newsletter, à la publicité.
La publicité elle même est peu impliquéede la vidéo, du carrousel d'images.
Une image simple, des messages.
C'est ce travail de cohérence, en fait
omnicanal à nouveau,qui va vous permettre d'être efficace.
Cécile Je n'ai pas compris votre question.
Un board marketing.
Elle fait référence à un terme nonque vous avez que vous avez mentionné.
Oui, c'est sûr.Ouais.
Sinon, j'ai eu effectivement une
j'ai eu envie de positionnerl'image de marque dans un ensemble plus
lié effectivement au marketingen général marketing.
Ça vient bien de
vous avez parlé d'un x x x.Marketing?
Oui, oui, tout à fait.
Je pense qu'en fait, Ford a trop segmenté.
Et là encore, c'est sans doute la manière
dont Levens Steichenenvisage la formation.
A trop segmenté, on perd le sens général
et on a tendance à ne pasréussir à passer les étapes.
Donc, nous, on est passé effectivement,comme vous l'avez vu.
De concepts.
C'est in band marketing,hot dog, marketing.
Si jamais vous avez eu une coquilleque moi je n'ai pas aperçu.
Mais à Koopa, effectivement,tout ce qui va être in band marketing,
c'est comment vous allez drivéevos consommateurs vers vous.
Ça va plutôt être du pool et par contre,
tout ce qui est Oded Marketing,ça va plutôt être du push.
Donc tout ce que vous allez envoyer,
ça fonctionne pareil sur un éditeurde publicités en fonction des réseaux.
Vous voyez là une vision de Google ADS?
Vous allez plutôt être pareilsur pull raille mes utilisateurs.
Vers une information que j'ai envoyéun message les fameuses publicités
que vous voyez quand vous vous connectez,quand vous faites une recherche ou bien
au contraire, pour un certainnombre d'informations.
Vous voyez là, par exemple,
une vision d'engueuladesdes différents réseaux sur lesquels sont
envoyés vos informations,vos messages, vos fameuses campagnes.
Là, on a une campagnequi va être diffusée.
Donc là, c'est une vraie capture d'écran
qui est issue de nospublicités à nous Steichen.
Vous voyez que c'est diffusésur le réseau Display?
Le réseau Paid Search s'est diffusépar image email sur les réseaux sociaux,
parle de la fonction de Sippar, de larecherche directe, de l'organique Search,
Durrës, Ferrol et ainsi de suite.
Alors on va prendreles principaux display.
C'est tout le réseaude partenaires de Google.
Ce qu'il faut retenir,
c'est que si vous choisissez ce réseau là,au moment où vous créez votre campagne,
on va voir tout à l'heurecomment créer une campagne
à ce moment là.Vous utilisez effectivement
quelque chose qui va s'appeler Display,qui est l'ensemble des partenaires
de Google, et vous avez des blogs,par exemple,
qui vont aller vous recommanderou qui vont créer des liens favorables,
des liens d'autorité en orientant versvotre page, vers votre site paid search.
Ça va vraiment être de lapublicité payante classique.
C'est ce que vous voyez apparaître,par exemple quand vous voyez
et publicité payante depuisle moteur de recherche Google Email.
Là, on ne va plus sur le nombre
d'utilisateurs qui sontvenus depuis vos mails.
Vous
voyez que c'est intéressant parceque Google va un cran plus loin.
Qu'uniquement ces publicités à lui
et analyse en fait ce qui afonctionné ou pas fonctionné.
Vous pouvez vérifier aussil'utilité de vos propres campagnes.
C'est pareil, c'est pareil aujourd'huisur Social Direct Organic Search.
La manière dont vous pouvez être trouvée
par des utilisateurs,ça dépend de votre campagne.
Encore une fois, et non pas uniquementde ce que vous allez payer.
Donc,vous pouvez alterner entre du marketing
classique, une bande de bande à partirde messages fondés sur les valeurs
de la marque ou bien de la publicité,de même appuyée sur des messages
et des messages qui incarnentles valeurs de la marque.
Créer sa publicité, vous voyez,
c'est simple, vous pouvezpasser par un menu de gauche.
Il y a plusieurs manières de faire,mais la plus simple est chronologique.
Elle s'incarne tout simplement
dans un menu qui apparaît et qui vouspermet de passer d'étapes par étapes,
de choisir les raisons sur lesquelles vousallez vouloir diffuser vos annonces
et ensuite de fixer des budgetspar campagne.
Le coût par clic CPC,des budgets maximum, mais également.
Ce qu'il faut comprendre,c'est que Google fonctionne par enchères
aujourd'hui.Ça veut dire que vous allez investir
sur des mots clésqui vont vous permettre de faire
reconnaître référencer vos publicitéssur différents réseaux display search.
Ainsi, de suiteque la personne quand elle clique,
Google vous facture différemment selonque le mot est très recherché,
peu recherché et donc en fonction,vous allez avoir un coût par clic CPC
qui va être différent,donc il va être plus ou moins cher.
Libre à vous d'avoir un article,par exemple, très élevé.
Médiaux cappé, en me disant par moi je ne
veux pas dépenser plus en publicitéou bien au contraire avoir une stratégie.
Vous vous dites moi,
je préfère avoir des mots qui sontfaiblement cliqué, mais très précis
et à ce moment là, d'avoirun coût par clic moins cher.
Vous parlez à ce niveau là de short?Tél.
Tél.Courte que longue queue.
Vous avez des mots type?
Par exemple, Cléomène Steichen vainvestir sur formation, évidemment.
Formation, ça va êtreun coût par clic très élevé.
Par exemple, Amazon a construit son succèssur des longue traîne longue table,
sur des mots, par exemple, qui vont êtreT-shirt jaune de la marque achéenne.
C'est une longue traîne parce que c'estrare qu'un utilisateur tape ça.
Sauf qu'une fois qu'il l'a tapé,il savait exactement ce qu'il voulait.
Le taux de conversion estbeaucoup plus important.
Ce qu'il faut aussi retenir,
c'est qu'aujourd'hui, si vous avez encoredans votre entreprise des gens qui
pilotent ces campagnes
par le biais de leur ordinateur,
il faut leur dire d'arrêter et de seconcentrer sur leur mobile. Pourquoi est
ce que si créer une campagne se faitaujourd'hui par ordinateur,
la piloter est beaucoup plus facilesur des applications qui sont plus
récentes que les sites eux mêmes?Et vous avez une vision par mobile
beaucoup plus intéressante ou vousmême en tant que fondateur?
Sans y passer de temps dans les métro,
dans le métro, le matin,vous pouvez vérifier en permanence
l'utilité des campagnes qui ont été menéesdans la semaine en vérifiant combien ça
vous a coûté, combien d'utilisateurs çavous rapporté le temps de rétention?
Bref, tous les outils de votre tunnelde vente, jusqu'à savoir, par exemple,
qui consomme en terme de.
Vous pouvez avoir pas mal d'informationssur quel type de support vous voyez.
C'est très facile.C'est une simple petite icône à créer avec
la possibilité en permanenced'améliorer la qualité de vos annonces.
Parce que le miracle de Google,c'est que par algorithme,
ils vous font des propositions et que vousavez un petit clic bouton à faire
depuis votre smartphone pour monterà des seuils de qualité importants.
Voyez cette annonce, elle est à 92,5,donc on est proche de la perfection.
Est ce que vous avez des questions?
Pas de question, alors je continue sur cequi parfois est vu comme ennuyeux.
Et pourtant, il est nécessaire de
connaître les outils puisque les outilsencapsule bien souvent des stratégies.
Vous voyez que moi,je peux savoir très facilement declared
sur une capture d'écran ordinateurque j'ai 24000 clique sur cette publicité
que j'ai 320 000 personnes qui ont regardéle message depuis leur mur d'actualités,
par exempledepuis leur une recherche Hitwise,
donc 320.000 acquisitions, 24000activations avec un cout de 5500 euros.
On investit chez les Steichen un coût 1,un taux par clic de 7,6 pourcent,
un coût par clic de 23 centimes et unbudget quotidien d'à peine 10 euros.
Donc, effectivement, cette puba été lancée il y a longtemps.
Voilà
plat.
Si vous voulez créer votre message,rien de plus simple.
Vous voyez, quand vous arrivez à la fin
de votre processus,je vous rappelle le menu de gauche.
Vous créez une annonce avec un URL finale,un titre l'Humanité Schön.
Un message devenir entrepreneur demain.
Un sous titre Commentcréer son antre Priscus?
Plutôt décrire votre offre.
Et derrière, vous avez de multiples
possibilités créer un visuel,créer un carrousel d'images,
introduire une vidéo,demander ce que votre publicité soit
intelligente pour s'améliorerdans le temps.
Donc, vous récoltezde la data fondamentale.
Mais derrière, vous allez devoirmesurer ce que ça vous a apporté.
Alors, version short.
Utilisez votre application version pro.
Essayez effectivement au plus de captervos données et de les regrouper.
Cela vous permettra de faire du traitementde données et derrière,
de construire vos personnages derrière,d'améliorer votre offre,
soit vous en tant que fondateur,soit avec vos équipes marketing.
Donc, vous pouvez créer vosmétriques facilement en
moi.Je vous conseille d'utiliser des CRM
qui vous permettent d'allerchercher ces infos un peu partout.
Vous pouvez utiliserdes choses qui existent.
Google Analytics, par exemple, en soit,
vous propose le tableau de bordque vous pouvez perfectionner.
ex-post votre CRM vous permet de capter
des données issues de ces différentstableaux de bord de Google et de Facebook
à l'aide de lignes d'Innateet ainsi de suite.
Et derrière?Effectivement, vous avez la possibilité
de créer les vôtres et d'aller faire,par exemple, les mettre dans un Excel,
suivre vos performances.
Les mots clés qui ont bien marché, ça,c'est très important parce que ça vous
permet progressivement d'affiner votreaudience et d'affiner vos messages.
Et donc d'avoir une image de marque qui vamieux puisque vous allez,
vous allez correspond à la promesseet une marque réussie.
C'est une marque qui correspond à sapromesse, qui propose des offres
qui correspondent à ceque les gens attendent.
Vous allez pouvoir améliorer votre
notoriété et la qualité de vos annonceset finalement réduire le budget.
Au final,
donc,
tout ça implique effectivement d'avoirune vision extensive de la marque.
Je rebondis sur ce que disaitsessile à l'instant.
C'est vrai qu'on a eu une vision très
large des basiques du socle d'unemarque jusqu'à l'image de marque.
Tout à l'heure,qui est vu justement comme une relation
dans un processus de vente qui n'est pasponctuel, mais qui est pérenne,
qui vous permet de fidéliseret donc d'investir de moins en moins.
Qui vous permet également de fonctionnerselon un tunnel de vente qui va vous
permettre d'améliorervos campagnes au fur et à mesure
par itération, de mieux connaître vosutilisateurs par personna et donc,
au final, d'améliorer la qualité de ceque vous proposez pour avoir une image
de marque se nourritjustement de votre marketing.
Cela suppose d'être bien référencé,
donc d'optimiser votre contenuen utilisant effectivement les métriques,
ce que vous allez capterpour avoir des mots clés adaptés.
Cela suppose de créer des textesqui soient caractéristiques.
Donc, encore une fois,
la marque aujourd'hui impose une visiontrès intégrée de votre façon de faire
du commercejusqu'à la manière dont vous allez rédiger
vos offres sur Internet vous prendun exemple, vous,
en tant que chef d'entreprise,vous n'avez peut être pas le temps
d'utiliser tous ces outils,mais vous savez à peu près quels sont vos
utilisateurs et vous avezenvie de revoir votre offre.
Vous êtes donc écrire votreoffre un texte tout simple.
Pensez à voir des méta title,
c'est à dire des titres de niveauxdifférents, parle de balises H1, H2, H3.
Est ce que Google va référencer votre siteen fonction de son Google Spyder,
son araignée qui va sepromener sur la toile du web?
Qui va déverser?
Qui va s'intéresser à votre site,
à vous et qui va à un momentdonné faire un test?
Un audite en disant est ce que cesite est de bonne qualité?
Si vous avez pensé à tout vos clés,
si vous avez une cohérence dans votreimage de marque, ça devrait être facile.
A ce moment là, le Google Spy devait dire
OK, c'est des spécialistes, des experts,donc je peux les références.
C'est pas mal à analyser si votresite est bien construit.
Donc, si vous avez des liens entre vospages qui sont correctes et donc si votre
architecture de siteest intelligemment faite, là on.
Google Juice, c'est pas Beetlejuice,mais c'est un peu pareil.
On considère que les algorithmesde Google, il déverse un jus
pendant lequel il analyse en faitqu'il va déverser sur votre site.
C'est une image pour vous montrer qu'il a
un temps donné quelques minutes pendantlequel il va analyser toutes vos pages.
Si votre site est bien construit à ce
moment là, il est plutôt fait selonun plan en étoile.
C'est un peu comme les appartementsd'un plan en étoile.
Vous pouvez naviguer facilementdans n'importe quelle pièce
et donc le Google va pouvoirdéverser de façon homogène.
Donc, Google va référencer votre site.
Mieux que les autres parce qu'il aura eule temps d'analyser toutes vos pages,
alors qu'au contraire,si vous êtes sur des
architectures un peu à l'ancienne,
et bien ça va être plus compliquéet du coup, il n'aura pas le temps
d'analyser toutes les pages et vousserez moins bien référencé.
C'est un sujet qui est hyper important.
Si vous voulez avoir un référencement
correct et si vous voulez mettreen avant votre image de marque.
Les enchères, on l'a vu,
s'est fondé sur des mots clésqui vous permettent, derrière,
de construire des groupes de publicitédans lesquels vous avez des campagnes
de pardon, des campagnesdans lesquelles vous avez des groupes
de publicité dans laquelle vousavez des publicités.
On a vu une publicité.
C'est un message derrièreune image, une vidéo clés.
Et puis derrière, vous pouvez améliorer
sans cesse la diffusionselon vos personnages.
On arrive à la conclusion de ce We binard.
J'espère que ça va vous intéresser.
Ce qu'il faut avoir en tête,c'est que la relation dans le suivi va
vous permettre d'améliorer votreimage de marque au fur et à mesure.
Ici est reproduite la pyramide de Maslow.
Pour vous rappeler ce qu'on disait
au début, c'est à direqu'une marque réussit.
Elle n'est pas qu'un formative,
elle apporte un supplémentd'âme et elle apporte du sens.
Et elle permet du coup derrièrede construire sa communauté.
Consommer chez nous,ça va permettre à la personne de réaliser,
de réactualiser son identitéau fur et à mesure.
Ça va apporter quelquechose de supplémentaire.
Et c'est valable pour du toutaussi ou du be to be.
Consommer tel ou tel cabinet de conseil,
c'est potentiellements'adresser à un expert.
Et donc, en tant que professionnel,
c'est améliorer son image parceque les valeurs qui sont
portées par cet expert leur permettent debriller en interne et de les actualiser.
Mes objectifs professionnels?
La vision que j'ai de moien tant que professionnel de qualité
que vous pouvez effectivement
repenser la pyramide de Maslow selon sesbesoins physiologiques de sécurité
et d'appartenance des soins,ça va être un moyen d'enrichir les valeurs
et les évocations liéesaux valeurs de votre marque.
Vous pouvez aussi utiliserd'autres principes
plutôt issus de la psychologieaujourd'hui.
Des gamer qui considèrent que tout être
humain aujourd'hui, notamment dans le jeuvidéo, a des objectifs limités et donc
un gamer bien choisirson jeu parce qu'il préfère découvrir,
par exemple, une marque de conseil, elleva apporter une compréhension globale.
Peut être que l'humanité d'aujourd'hui,
ça permet à certains d'entre vousde découvrir des sujets pour d'autres.
Cela va vous permettre d'êtremeilleurs pour certains.
Cela va permettre de battreun ennemi, le boss.
La personne référente dans son entourage,c'est cette motivation là.
Ce que vous trouvez dans Mario Bros.
À la fin d'un monde?
La Big Turtle, c'est cette motivationlà qui va vous permettre d'avancer
et qui va vous donner envied'apprendre quelque chose de nouveau.
Donc, vous mesurer aux autres, découvrir,
rentrer en contact également,entrer en contact avec quelqu'un qui va
vous apporter de l'empathie,une reconnaissance de vous et également
une des motivations utiliséespar les gamer aujourd'hui.
Merci Corinne.
Je voulais quand même finir sur le prixparce que vous hésitez plein de choses
et on ne peut penser que c'esttrès cher et même pas du tout.
En fait, ça va vous coûter beaucoup,
beaucoup, beaucoup moins cher que ceque vous faites aujourd'hui si vous avez
malheureusement encoreun site vitrine ultime.
Si vous n'avez pas l'occasion d'investirdans un CRM, ce un CRM,
ça peut être un peu compliqué au début,mais c'est une bonne solution pour tester.
Souvent, c'est connu pour les newsletters,
mais en fait, ils se sont transformésen plates formes de marketing digital
et vous pouvez par exempletester des offres.
Vous n'avez pas envie aujourd'huide dépenser des mille et des cent
pour passer par votre développeuret créer une nouvelle offre?
Créez une nouvelle page.
Vous savez que vous allezsans cesse améliorer votre texte.
Utilisez Medtechs.
Vous pouvezfacilement utiliser des noms de domaine
qui vous renvoyer vers des pages que vouspouvez gérer vous mêmes,
qui sont magnifiques,probablement bien plus belles que votre
site actuel, et ce sera complètementneutre pour votre utilisateur.
Il ne verra pas la différence entre votre
site ou milkshake, si ce n'estqu'il trouvera ça plus joli.
Vous avez effectivementle CRM dont je vous parlais.
Vous avez des offres pour les petitesentreprises qui permettent de diviser
par dix les coûts en deux à trois anssi vous ne les divisées pas par dix.
Comptez entre 200 et 500 euros.L'avantage de Spot,
c'est que vous êtes sur le marketinget sur le commercial, donc,
et sur les regroupementsde personna et sur l'individuel
recontacte.Ça permet à ceux qui le souhaitent
d'enrichir ses listes de contactsà partir, par exemple, de vous abonner.
Linguine.On a un cours dédié sur l'humanité
aujourd'hui pour permettre à chacund'entre vous de créer vos listes d'email.
Mais sachez effectivement que la listed'email aujourd'hui, c'est un peu has been
et qu'il vaut mieux fonctionnerpar Publicité éditeur qui vous
permettront, par exemple, de toucherdes millions de personnes dans le monde.
Donc, utiliser ce que je n'ai pasmentionné à un Google
Facebook Ed Dignidad, utiliser les réseauxsociaux aussi, qui sont gratuits.
Tous les postes.Parce que du coup,
si vous utilisez des outils multi post-it,vous pouvez toucher à n'importe quel
moment, à n'importe quelle heure,y compris le week end.
Donc,
voilà quelques mots pour garder en têteque ces fonctionnalités aujourd'hui
Célimène, la publicité,une page isolée que vous allez pouvoir
contrôler vous même et qui vouspermet de tester des offres.
Ce qu'on appelle la landing bike.
Des études d'opinion avec des outils
simples, un CRM ou bientimed forment par exemple
l'envoi de post sur vos réseaux sociaux,
votre marque aujourd'hui,votre image de marque.
Elle va reposer sur tous ces outils qui,
mis bout à bout,forment le monde du digital.
Un monde qui n'est pas liéaux développeurs informatiques,
contrairement à ce qu il y a dix ans,mais qui est vraiment l'essence même de
ce que peut faire aujourd'huiune entreprise de petite ou moyenne taille
pour pouvoir partirà la conquête du monde.
Voilà, je vous remerciepour votre attention.
J'espère que ça va vous intéresser.
Je sais,
je ne sais pas si vous revenezsur la remarque de d'Arnage qui demandait
si Google était vraiment indispensableet indispensable, mais pas aujourd'hui.
Evidemment, vous avezla possibilité d'aller sur
Google vers 20 heures.Il y a deux ans.
Google, c'est un sujet très compliqué.
Et donc, pour le simplifier,il faut retenir deux choses.
Vous avez un Google qui analyse et vousavez un Google éditeur de publicité,
le Google Canalys.
Il est indispensable,c'est le Google Analytics.
Ça implique un tout petit paramétrage
que vous pouvez faire facilement avecvotre développeur ou votre agence
de développement,qui va vous permettre d'utiliser
des scripts qui, a minima,vont vous permettre de savoir
en gros quel est l'âge moyen de vosutilisateurs,
connaître mieux vos utilisateurs le tempspassé et vous pouvez affiner par page
Google Analytics.C'est un point vraiment fondamental.
Si aujourd'hui vous ne l'avez pas,
vous ne pouvez pas faire de commerce,c'est juste impossible.
Derrière, vous avez des éditeurs
de publicité ou si vous pouvez peut êtreaujourd'hui, vous ne pourrez plus demain.
Cela impose de s'y mettre dès maintenant.
Derrière, vous avezdes éditeurs de publicité.
Peut être que tout le monde nesera pas d'accord avec moi, mais
en gros, ces éditeurs et ils ont même
des biais.
L'utilisateur de Facebook ne va pasêtre le même que Linking ou Google.
Ça, tout le monde le comprend à peu près.
Globalement, 95 du trafic mondialInternet passe par Google.
Donc, une fois que vous connaissez cette
statistique, vous ne pouvez pas fairede commerce dans un monde mondialisé.
Sans cet outil, cet outil.
Par ailleurs, il va vouspermettre d'affiner par objectif.
Derrière, vous pouvez à nouveau utiliser
des scripts et savoir par page,en pousser un certain nombre de pages,
capter des donnéesou pousser des publicités selon
des critères que vous allezdéfinir et affiner dans le temps.
Au début, ça se fait de manière un peuanarchique et c'est très difficile d'avoir
vraiment une agilité et unemaîtrise sur ces sujets là.
Il faut au moins être deux dans uneentreprise pour que ça fonctionne bien.
Vous construisez vos campagnes,mais si vous avez des messages aujourd'hui
clairs derrière,utilisez Facebook Google ADS.
C'est un jeu d'enfant et par contre,ce qui est intéressant,
c'est que derrière vous,vous allez pouvoir de plus en plus pousser
vos contenus en fonctiond'indications qui vont vous donner.
Par exemple, nous moncey sur l'humanité.
Les start uppers qui sont une cible,
aime faire marcher des gens quiaiment faire par eux mêmes.
Et c'est nécessaire quandon veut créer sa boîte.
Bon bah.
Derrière, on sait par exempleque cibler des gens qui aiment la cuisine,
c'est quelque chosequi est hyper intéressant.
Vous voyez,
là, je prends un exemple extrême,mais on pourrait dire, par exemple,
que des gens qui aiment l'actualité etpar exemple la politique ou l'économie,
ça concerne par exemple les chefsd'entreprises et comme des cibles Gebel
et cibler spécifiquement des personnesqui ont ces centres d'intérêt.
Ou bien je me rends compte quemon image, elle, parle plus.
C'est qu'il y a du monde, ces jeunes,des gens qui ont entre 25 et 45 ans.
Un petit peu plus pour des femmes bachmet
ciblées de cibler un peu plusles femmes de 25 à 45 ans.
De toute manière, ce qu'il faut retenir,
c'est qu'il y a cinq ans,c'était très compliqué.
Aujourd'hui,l'algo vous permet d'améliorer en cliquant
sur des boutons et en répétant simplementl'opération quotidiennement ou toutes
les semaines pour que l'algorithmiquetraite par lui même ces sujets là.
Vous n'avez pas un grand effort à faire?
J'espère que ça va répondreà peu près la question.
Je suis, puisque
je
ne commente pasça a répondu à la question.
On a beaucoup de remerciementspour ces webinaire.
Je vous ai mis dans le Tchad.
Le lien pour
les CITEPA l'enverrait également par mail
avec le support de présentationtransmis par d'armatures.
Un encore des remerciements.
Merci à vous, Mathieu Mathieu.
Il me semble que vous aviezquelque chose à partager avec
nos participants.
Oui, tout à fait.
Aujourd'hui, sur l'humanité schön,
vous pouvez effectivement vous inscrireavec le code en envoyant un mail.
C'est pas bien.
Je n'ai pas prévu le formulairede contact.
C'est mal, c'est pas grave.
On va le faire à l'ancienne.
Avec l'aide de Yomanque vous m'envoyer par email,
je vous ouvrira un accès à un coursspécifiquement sur le marketing digital.
Et puis derrière, on a beaucoup de cours
qui sont complémentaires,donc n'hésitez pas à nous solliciter.
Je voulais juste l'adresse
de notre catalogue de coursqui s'enrichit en permanence.
Si vous êtes aujourd'huiun formateur, vous pouvez aussi facilement
vous inscrire comme formateuret commencer à créer beaucoup d'humanité.
C'est hyper simple.
Voilà
pour.
Il vous suffit de cliquer sur le call to
action, d'envoyerappuyer sur le bouton Suivre
et vous arriverez sur
la page proposée par Mathieu.
Dans tous les cas, on fera
le récapitulatif comme d'habitude et jevous enverrai toutes les informations
pour que vous puissiezsuivre sans problème.
Voilà ce que vous avez un motpour conclure.
J'espère vous avoir bien marqué,
pas mal et je pense.
Merci à vous.
Je crois qu'il y a Carole qui est en train
d'écrire un petit mot, donc je vaisla laisser la laisser terminer.
Je vous invite à compléter le formulaire
de satisfaction,à nous transmettre tous vos commentaires
et à nous donner vos vos, vos souhaits.
Oui, binard à venir et je vous transmets
aujourd'hui ou demain
le support et toutes les informationspour suivre le webinaire en replay.
Si vous le souhaitez, je vous remercie.
Merci.
Si je retiens la nécessité de maîtriser,
actualiser les outils digitaux pourentretenir son image de marque pas fait.
Passionnant.Merci beaucoup.
Surtout que maintenant,
je lance ma boutique en ligneautour des femmes et du vin.
Parfait
par rapport à ce sujet là.
Si je peux me permettreune petite parenthèse,
c'est utiliser WordPress.
Allez sur Thème Forest,ça va vous permettre de choisir des thèmes
qui sont vraiment hyper bien faitset qui vont vous permettre si vous n'avez
pas besoin d'avoir des tableaux de bordcompliqués ou l'exploitation d'une base
de données complexe, de créer très,très facilement un truc magnifique,
de vous concentrer du coup plutôt sur lesillustrations, les bases d'images, etc.
Derrière, vous pouvez créer soit moij'aime bien WordPress ou bien Shopify.
On a un super aujourd'hui.
On a la chance d'avoir un OVH en Francequi permet en fait à la fois de stocker
des sites Internet et de choisirson nom de domaine.
Ils ont des systèmes justement très
simplifiés pour vous permettrede créer votre boutique en ligne.
Si ça vous intéresse,on peut aussi des cours là dessus.
Voilà.Très bien, merci.
Merci Mathieu.Merci à vous, chers participants.
Je vous souhaite une très belle journéeet je vous dis à très bientôt.
Mathieu.